Manifestation anti-délestage
Le délestage électrique fait parti d'un des maux que la ville de Farafangana subit quotidiennement, cette dernière semaine, il y a des quartiers qui vivent dans le noir pendant au moins deux jours consécutifs.
Ras le bol, la population s'est manifestée dans la rue pour exprimer la colère contre la Jirama, la société nationale de distribution d'eau et d'électricité ce jour.
Malgré quelques jets de pierre envers les locaux de la Jirama, le rendez-vous qui a rassemblé les écoliers et collégiens, les parents d'élèves, les politiciens, les simples citoyens ... s'est déroulé sans blessé, ni casse, ni pillage. Les pancartes brandies exigent la fin du délestage, la baisse de la facture, et pire encore la démission du directeur de la Jirama.
Après quelques discussions sur place, entre les responsables de la Jirama, les autorités locales, les délégués des consommateurs, des parents et des élèves qui ont du mal à étudier et réviser en cette période de préparations aux examens, les manifestants ont été dispersés par la gendarmerie.
Le dialogue s'est encore poursuivit au Restaurant Abba cet après midi pour trouver une entente. La résolution étant rédigée et dirigée vers la Direction Générale de la Jirama, le Ministère de tutelle, la Primature (Bureau du Premier Ministre), et la Haute Autorité de Transition.
Selon l'un des techniciens de la Jirama que nous pouvons rencontrer : les groupes électrogènes sont trop vieux, datant de il y a vingt ans, tombent souvent en panne et les pièces de rechanges n'existent plus sur le marché.
Le délestage électrique est l'un des épreuves que le régime Marc Ravalomanana a promis d'éradiquer sans succès, est devenu un nouveau défi pour l'autorité transitoire de Andry Rajoelina.
Ras le bol, la population s'est manifestée dans la rue pour exprimer la colère contre la Jirama, la société nationale de distribution d'eau et d'électricité ce jour.
Malgré quelques jets de pierre envers les locaux de la Jirama, le rendez-vous qui a rassemblé les écoliers et collégiens, les parents d'élèves, les politiciens, les simples citoyens ... s'est déroulé sans blessé, ni casse, ni pillage. Les pancartes brandies exigent la fin du délestage, la baisse de la facture, et pire encore la démission du directeur de la Jirama.
Après quelques discussions sur place, entre les responsables de la Jirama, les autorités locales, les délégués des consommateurs, des parents et des élèves qui ont du mal à étudier et réviser en cette période de préparations aux examens, les manifestants ont été dispersés par la gendarmerie.
Le dialogue s'est encore poursuivit au Restaurant Abba cet après midi pour trouver une entente. La résolution étant rédigée et dirigée vers la Direction Générale de la Jirama, le Ministère de tutelle, la Primature (Bureau du Premier Ministre), et la Haute Autorité de Transition.
Selon l'un des techniciens de la Jirama que nous pouvons rencontrer : les groupes électrogènes sont trop vieux, datant de il y a vingt ans, tombent souvent en panne et les pièces de rechanges n'existent plus sur le marché.
Le délestage électrique est l'un des épreuves que le régime Marc Ravalomanana a promis d'éradiquer sans succès, est devenu un nouveau défi pour l'autorité transitoire de Andry Rajoelina.